Des procédures de sécurité considérées par les journalistes comme des "perquisitions" ont déclenché les hostilités. Ainsi des journalistes tunisiens n'auraient pas apprécié d'être les seuls à subir certaines fouilles alors que d'autres journalistes étrangers y auraient échappé.
L'échange de brutalités entre certains journalistes tunisiens et deux gardes de corps américains, qui a commencé verbalement, a failli dégénérer lorsqu'un journaliste a été sommé de quitter les lieux par les agents de sécurité américains, suscitant un tollé des autres journalistes tunisiens qui ont menacé de boycotter le point de presse.
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