''tout a été orchestré pour obliger les députés des deux chambres du parlement algérien à adopter à une majorité écrasante le texte de la Nouvelle Constitution, écrit le directeur du site Nicolas Beau.
Tahar Missoum, originaire de la wilaya de Médéa, aurait, ainsi, ''été approché par des émissaires pour lui transmettre un message carré: « si tu ne votes pas oui, ton usine de fabrication de produits laitiers subira des représailles ».
Les députés de l’émigration, dont Samir Chaâbana, auraient été aussi ' approchés'' car ils voulaient protester contre l’adoption de l’article 51 qui exclue les binationaux des hautes fonctions de l’Etat.
Mondafrique parle de ''méthodes musclées'' dont userait le député FLN de Annaba, Baha Eddine Tliba, vice-président du parlement et ''terrible lobbyiste au service du clan présidentiel,''
''les députés récalcitrants sont conatctés l’un après l’autre pour les convaincre de renoncer à leur opposition. Et lorsque la persuasion et les tractations amicales n’aboutissent pas, Tliba recourt tout bonnement à la menace et le chantage,'', écrit Beau.
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