Nous avions été les premiers en 2014 à annoncer son acquisition par l’Algérie le système de commandement et de contrôle automatisé Polyana D4M1 a été vu aujourd’hui pendant la visite du Chef d’Etat-Major Ahmed Gaid Salah à 2eme Région Militaire (Ouest du pays). Ce système fonctionnant avec une couche d’intelligence artificielle, permet de commander et coordonner les systèmes de défense anti-aérienne mobiles de différentes portées et de différentes natures, en partageant les données entre eux et en prenant la commande de tir de chacun d’eux.
Il permet par exemple de ne pas exposer les systèmes mobiles de DAT, comme le S300, le Tor, le Buk M2 et le Pantsir S1 (tous opérationnels en Algérie) aux différents ennemis qui détectent les sources d’émissions radars, en utilisant des systèmes radars déportés dont l’information sera partagée entre l’ensemble des lanceurs de missiles et des systèmes de défense, qui deviennent totalement invisibles pour l’ennemi.
Mieux, le Polyana D4M1, a la capacité de couvrir un carré de 800 Km/800 KM (superficie de la France), surveiller 500 cibles simultanément et en engager 250. Ce système permet de coordonner via deux postes de commandements mobiles à l’allure de camion banalisé, la défense aérienne cotre des vagues entières d’ennemis en prenant le contrôle de d’un nombre allant jusqu’à 14 batteries et systèmes anti-aériens.
Une première en Afrique
Il y a quelques mois l’excellente page Facebook Sada Al Jouyouch, avait publiée une planche exposée lors de journées d’information de l’ANP en 2017 qui décrivait le système Polyana D4M1.
Avec l’entrée en service de système l’Algérie entre dans le club fermé des pays ayant une défense aérienne intégrée.
La plaquette officielle du constructeur du système Roselektronika (filiale de Rostec) qui répond au code GRAU 9S52M1, montre aussi la possibilité de coordonner avec des systèmes d’alerte avancée héliportés et les avions AWACS. Une option qui est à l’étude depuis plusieurs années par l’armée algérienne.
Menadefense.
Il permet par exemple de ne pas exposer les systèmes mobiles de DAT, comme le S300, le Tor, le Buk M2 et le Pantsir S1 (tous opérationnels en Algérie) aux différents ennemis qui détectent les sources d’émissions radars, en utilisant des systèmes radars déportés dont l’information sera partagée entre l’ensemble des lanceurs de missiles et des systèmes de défense, qui deviennent totalement invisibles pour l’ennemi.
Mieux, le Polyana D4M1, a la capacité de couvrir un carré de 800 Km/800 KM (superficie de la France), surveiller 500 cibles simultanément et en engager 250. Ce système permet de coordonner via deux postes de commandements mobiles à l’allure de camion banalisé, la défense aérienne cotre des vagues entières d’ennemis en prenant le contrôle de d’un nombre allant jusqu’à 14 batteries et systèmes anti-aériens.
Une première en Afrique
Il y a quelques mois l’excellente page Facebook Sada Al Jouyouch, avait publiée une planche exposée lors de journées d’information de l’ANP en 2017 qui décrivait le système Polyana D4M1.
Avec l’entrée en service de système l’Algérie entre dans le club fermé des pays ayant une défense aérienne intégrée.
La plaquette officielle du constructeur du système Roselektronika (filiale de Rostec) qui répond au code GRAU 9S52M1, montre aussi la possibilité de coordonner avec des systèmes d’alerte avancée héliportés et les avions AWACS. Une option qui est à l’étude depuis plusieurs années par l’armée algérienne.
Menadefense.
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